Les éoliennes en France >>


La puissance éolienne en service représente 1,5 GW (1500 MW). En août 2006, la région Languedoc-Roussillon (215 MW) n'était déjà plus la première région française en terme de puissance éolienne installée, puisque la région Centre comptait plus de 240 MW en fonctionnement. Les régions Bretagne, Champagne-Ardennes et Lorraine occupaient les 3ème, 4ème et 5ème places, avec respectivement environ 168 MW, 102 MW et 100 MW installés. De nombreux parcs sont en outre actuellement en construction.
Le seuil de 3000 MW pourrait être atteint à la fin de l'année 2007.

 II - Fonctionnement

A - Explication rapide

B - Approfondissement (effet Venturi, effet de portance, énérgie cinétique)

C - Les génératrices

D - L'éléctricité

E - Les batteries

C - Les génératrices

Retournons à la génératrice, qui comme son nom l’indique transforme l’énergie mécanique (rotation du rotor) en électricité ; d’une manière générale elle crée de l’électricité comme c’est le cas dans l’animation, cependant elle ne crée pas n’importe quel courant électrique. En effet c’est selon le type de génératrice qu’elle possède qu’un certains courant sortira de l’éolienne. Il existe deux grands types de génératrices :

 

  • Les génératrices synchrones.

Elles fonctionnent un peu comme pour notre maquette. L’arbre rapide fait tourner le rotor de la génératrice et fait tourner un électro-aimant (ou un aimant mais cela et plus rare, car plus coûteux) au bout. Il faut un grand couple pour produire cette électricité, c’est pourquoi on retrouve ce type de génératrice le plus souvent dans les grandes des éoliennes (produisant plus de 100kw ou 150kw). Le courant sortant de la génératrice est généralement un courant alternatif (courant dont la tension est positive à un instant t0 puis négative à un instant t1) triphasé, pour banaliser on crée 3 tensions décalées pour combler les pertes de puissance quand la tension chute.

image d'un génératrice


Variation de la tension du courant alternatif triphasé


Variation du courant triphasé

  • Les génératrices asynchrones.

La particularité de ces génératrices vient de leur rotor dit en cage à écureuil. Le rotor tourne à la même vitesse que celle que lui transmet le multiplicateur mais cela ne lui permet pas de produire de l’électricité. En effet, il faut induire du courant parallèlement (celui du réseau) pour pouvoir permettre au rotor de tourner encore plus vite et de produire ainsi du courant.

 

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